[Topic Unique]Football Sud Américain

c'est juste sa rage envers Argentina qui lui fait penser ca

car le football labas est tres lent et que chaque annee ils sont des centaines a partir pour l'eldorado europeens

quand je vois un match bresilien franchement je trouve sa presque aussi desolant qu'un troyes-nantes

el ma, savent pas jouer au foot les brésiliens.

pour la lenteur, il faut voir aussi sous quelle température ils jouent.
C'est pas la même de jouer à rio sous 30° que dans la grise Aberdeen dans a 10° a l'ombre des nuages
car les brésiliens en europe, ce ne sont pas les plus lents

VAMOS BOCA VAMOS,
USTEDES PONGAN HUEVO'
QUE GANAMOS
VAMO' A TRAER LA COPA
A LA ARGENTINA
LA COPA QUE PERDIERON
LAS GALLINAS,
LAS GALLINAS!!!

EL QUE NO SALTA ES UNA GALLINA, EL QUE NO SALTA ES UNA GALLINA, EL QUE NO

SALTA ES UNA GALLINA...

Vamos vamos los Xeneizes
vamos Xeneizes
vamos a ganar...
Somos la mitad más uno,
somos el pueblo en carnaval...
Boca te llevo en el alma
y cada día te quiero más...

UN MINUTO DE SILENCIO, PARA RIVER QUE ESTA MUERTO EA EA EA EH EA EA EA EH...



RIQUELME RIQUELME RIQUELME RIQUELMEEEE!!!

ROMAN, NO TE VAYAS!!!!!!!! SOS GRANDE, SABELO!!!!!!!!!!!!!!!

et pour les non hispanophones?

beenie, pour les non hispanophones ça donne ça : (copié-collé de mon post dans le topic immortel d'Argentina chez les voisins). Et Argentina !



Dans la presse, on ne tarit pas d'éloges sur le match de Riquelme qui a même réussi à faire applaudir les brasilous (alors que l'accueil fut pour le moins hostile avec tentative de prise d'assaut de l'hôtel des joueurs de Boca, émeutes, aggressions, bombes agricoles ...).

Historique le 5-0 sur les deux matchs qui envoie aux oubliettes le précedent 5-1 de Santos contre Palmeiras en 2003.

Historique la 6e Libertadores pour Boca.

Entretemps un petit plaisir en direct de la Bombonera au match aller

Le 1er but de Riquelme hier soir

et le 2e sur un contre Palermo-Palacio-Riquelme

Voila qui fait du bien et qui nous mets une seleccion en pleine confiance pour la Copa America.

Maintenant place à la seleccion, la saison n'est pas finie de l'autre côté de l'Atlantique et ça c'est bon.

Es un sentimiento que no puedo parar, Argentina, Argentina !


Et un petit quand même parce que c'est pas demain que je vais revoir Independiente à ce niveau.

ok, je comprends mieux

ps: fais une bisou sur la bouche aux voisins de ma part

beenie a écrit:

et pour les non hispanophones?

c'est un chant revolutionaire pour les paysans d'argentine , qui vive caché sur des forums d'autres clubs européens afin de denicher des d'autres horizons , black de preference .....

ptin Fidel j'ai cru que ta video avait niqué mes enceintes

au fait pourquoi Villareal a prété Riquelme? C'est sur qu'il avait pas tres bien terminé la saison l'année derniere mais qd meme...

gigi, grosse embrouille avec Pellegrini le DT chilien qui avait dit que de toute façon il ne le ferait plus jouer. Là y parait qu'il y a du monde sur la corde à linge pour racheter le contrat. Ce type, quand l'équipe comprend ce qu'il veut faire et joue selon son tempo, c'est un géant. Mais bon c'est sur qu'il faut pas le bousculer.

et le castroman , un temps convoité par l'om , t'en pense quoi ? , sinon mon preféré le D'alessandro , il devient quoi ?

Le castroman, il est perdu pour le football (stats quasi blanches depuis 2 saisons à Velez) et va partir exercer son talent au Mexique.
D'Alessandro, fait partie maintenant de l'armée argentine du Zaragossa (option d'achat levée) la seule équipe au monde qui joue avec deux n°10 sur le terrain : d'Alessandro et Aimar. En plus il paraît que Saviola va les rejoindre. A ce train là ça va devenir une annexe de River Plate.

Fidel a écrit:

Le castroman, il est perdu pour le football (stats quasi blanches depuis 2 saisons à Velez) et va partir exercer son talent au Mexique.
D'Alessandro, fait partie maintenant de l'armée argentine du Zaragossa (option d'achat levée) la seule équipe au monde qui joue avec deux n°10 sur le terrain : d'Alessandro et Aimar. En plus il paraît que Saviola va les rejoindre. A ce train là ça va devenir une annexe de River Plate.

castroman / d'alessandro ... deux talents gachés alors ?

Pour d'Alessandro, c'est pas si catastrophique que ça. Saragosse est une bonne équipe, il y est bien et il encore jeune. Après c'est sur que c'est pas Messi non plus.

Fidel a écrit:

Pour d'Alessandro, c'est pas si catastrophique que ça. Saragosse est une bonne équipe, il y est bien et il encore jeune. Après c'est sur que c'est pas Messi non plus.

ouais mais moi j'aimais bien son style en plus que c'est un leader et quand il fut annoncé a l'om j'etait bouillant...il remplaçait pour moi un autre argentin qui n'est jamais venu et que j'aurai aimer voir jouer...Ortega !!!

L'Argentine, qui vient avec toutes ses stars et une envie de remporter un premier titre depuis 1993, sera la favorite de Copa America 2007, qui commence mardi au Venezuela. Le Brésil, qui s'est déplacé sans Ronaldinho ni Kaka, semble un ton au-dessous. Les Etats-Unis débarquent confiants.

En préambule de la Copa America 2007, Julio Grondona avait affirmé : "J'espère que le Brésil viendra avec la quatrième équipe ". Un brin provocateur mais affamé puisque privé de titre depuis 1993, le président de la Fédération argentine avait ajouté : "Ce qui m'intéresse c'est l'Argentine. La seule chose que je souhaite, c'est que nous soyons à nouveaux champions". Grondona veut mettre un terme à 14 années de disette. Respecté à travers le monde, le football argentin qui exporte des dizaines de talents dans les plus grands championnats n'arrive pas à s'imposer en équipe. Le sélectionneur Alfio Basile a d'ailleurs fait appel à toute l'artillerie lourde pour vaincre le signe indien : les anciennes stars Riquelme, Ayala, Crespo, Zanetti, Aimar seront là comme les nouvelles Messi, Gago, Tevez, Milito, Mascherano. Du lourd. Personne n'a fait faux bond contrairement aux Brésiliens.

Basile, qui est justement le dernier coach argentin à avoir remporté un titre avec l'Argentine a la mission de vaincre. S'il échoue, il devra probablement se chercher du travail ailleurs... " L'Argentine est favorite", s'est d'ailleurs empressé de préciser Dunga, le sélectionneur brésilien qui connaît son baptême du feu lors d'une grande compétition. L'ancien champion du monde connaît toutefois la règle: "On doit gagner de toute manière ". Au Brésil, même si Kaka et Ronaldinho sont forfaits, on ne comprend jamais des sorties sans victoire. Et Dunga, malgré son passé, aura du mal à faire passer la pilule d'une défaite, deux ans après le raté de Parreira au Mondial allemand. Avec Robinho, Gilberto Silva, Diego, Fred ou Julio Baptista, le Brésil a les moyens de bien faire même s'il paraît un ton en-dessous de l'Argentine. Dunga doit composer avec une équipe relativement inexpérimentée avec seulement sept joueurs qui étaient présents au dernier Mondial et aucun titulaire...

Les Etats-Unis parmi les outsiders

Derrière les deux mastodontes, la Colombie, victorieuse en 2001, l'Uruguay, capable du meilleur mais souvent du pire, l'Equateur, qui s'est fixé à haut niveau, le Mexique et... les Etats-Unis font figure d'outsiders. Les Américains, vainqueurs de la Gold Cup ce week-end, contre le Mexique, ont prouvé qu'ils avaient désormais les moyens de lutter avec les Latins. Toutefois, l'entraîneur Bob Bradley a choisi de se priver de plusieurs joueurs clefs Donovan, Beasley, Mastroeni ou Onyewo. "Ce sera l'occasion pour que des jeunes joueurs acquièrent une expérience inestimable d'une compétition de haut niveau. Ce groupe devra jouer un rôle important en qualifications pour le Mondial en 2008 et 2009", précise Bob Bradley.

Pour le Mexique, le sélectionneur Hugo Sanchez n'a lui pas perdu sa superbe malgré la défaite à Chicago. "Perdre contre les Etats-Unis aux Etats-Unis et en jouant ce cette manière nous satisfait. On y va pour remporter le titre", a affirmé l'ancien buteur. Attention aussi au Venezuela, un des rares pays du continent sud-américain à n'avoir jamais remporté le titre et qui aimerait bien réaliser un exploit à domicile. A domicile, où s'est effectué le tirage des trois groupes, qui lui a été particulièrement clément.

Posté par LEQUIPE.FR
26/06/2007
Foot - ARG - Incidents à Buenos Aires

De sérieux incidents ont éclaté lundi à Buenos Aires entre supporters suite à un match d'accession à l'élite entre les clubs de Nueva Chicago et Tigre. Une personne est morte, 11 autres ont été blessées et 75 arrêtées. La rencontre, classée à risques, s'est conclue par la victoire de Tigre (2-1) mais la partie a été interrompue dans le temps additionnel, alors que le club de Tigre venait d'obtenir un penalty. Les supporters de l'équipe adverse, furieux, ont alors envahi le terrain.

Un homme de 41 ans est mort des suites d'un traumatisme crânien survenu lors des violents incidents entre supporters dans le quartier de Mataderos de la capitale argentine. Onze personnes ont également été admises à l'hôpital Santojanni pour diverses blessures et trois policiers ont été soignés suite à des traumatismes. Par ailleurs, le responsable du dispositif de sécurité déployé dans le stade de Nueva Chicago a indiqué qu'au moins 10 agents ont été blessés et 75 personnes arrêtées. (avec AFP)

FOOTBALL - Copa America
PAS DE SAMBA POUR LE BRÉSIL



Le Brésil a totalement manqué son entrée dans la Copa America en s'inclinant dans la nuit de mercredi à jeudi contre le Mexique (0-2), lors de la première journée du groupe B. Avec une formation assez lointaine de celle qui était présente lors de la dernière Coupe du monde, sans Kaka ni Ronaldinho, le tenant du titre, pour la première du sélectionneur, Dunga, en match officiel, a connu une mise en route difficile. Diego, le jeune prodige du Werder Brême, avait beau ouvrir la marque dès la sixième minute, son but était refusé pour un hors jeu de position de Robinho, qui ne faisait pourtant pas action de jeu. Le Brésil concédait alors l'ouverture du score un quart d'heure plus tard sur un exploit de Nery Castillo. L'attaquant de l'Olympiakos, parfaitement lancé par Juan Carlos Cacho dans la surface, réussissait un sombrero de l'extérieur du gauche sur Juan avant de tromper Doni d'une subtile volée du gauche.


A peine le temps de respirer que Doni allait chercher une seconde fois le ballon au fond de ses filets. Son bourreau se nommait cette fois Ramon Morales (en photo, à gauche avec Rafael Marquez), qui enroulait parfaitement son coup franc des vingt mètres du gauche pour trouver la lucarne. Sonné, le Brésil rentrait aux vestiaires la tête basse. La deuxième période allait finalement être à sens unique. Les hommes de Dunga monopolisaient le ballon et mettaient le feu dans la surface adverse. Mais ils trouvaient à chaque fois sur leur route un Guillermo Ochoa des grands soirs. Décisif à plusieurs reprises, le gardien mexicain écoeurait même ses adversaires sur un double sauvetage héroïque devant Robinho et Anderson. «Nous nous sommes déconcentrés et avons immédiatement concédé deux buts, analysait Dunga. Nous nous sommes ensuite repris, et nous avons alors montré nos qualités mais le ballon n'a pas voulu rentrer». En toute fin de match, Castillo aurait pu corser le score et s'offrir un doublé mais le jeune attaquant manquait une occasion qui devrait le faire bientôt apparaître au zapping. Lancé seul au but, il effaçait Doni au point de penalty et, seul face au but vide, il frappait... à côté. Mais l'essentiel était fait.


Plus tôt dans la nuit, le Chili, mené deux fois au score, a finalement pris le meilleur sur l'Equateur (3-2). Alors qu'ils semblaient se diriger vers une tranquille victoire, après deux buts signés Valencia (16e) et Benitez (23e), contre une réalisation de Suazo (21e), les hommes de Luis Fernando Suarez ont craqué à deux reprises dans les dix dernières minutes. D'abord sur un nouveau but de Suazo (80e), puis sur un coup franc de Villanueva (87e), entré en jeu un quart d'heure plus tôt. «C'est le genre de match où vous n'êtes pas dominés, mais que vous finissez par perdre vous-mêmes» grimaçait le sélectionneur équatorien. «Nous sommes une bonne équipe qui joue parfois bien, lançait de son côté Nelson Acosta, le coach chilien. Ce soir, nous n'avons pas bien joué, mais nous

Les prochains matches :


Paraguay - Colombie (0h30)


Argentine - Etats-Unis (2h45) vamos argentina ! ! !

le champ est libre pour l'Argentine

L'Argentine démarre fort

Contrairement à son grand rival brésilien, tombé jeudi face au Mexique (0-2), l'Argentine n'a pas manqué son entrée dans la Copa America. Tombeurs des Etats-Unis (4-1), les hommes d'Alfio Basile ont eu besoin d'une bonne heure pour prendre la mesure de leur adversaire, solide et bien regroupé en défense. Mais l'Argentine n'a finalement tremblé que deux petites minutes, après l'ouverture du score signée Eddie Johnson, sur penalty (9e), pour les Américains. L'Albiceleste, qui présentait au coup d'envoi un savant mélange de revenants (Veron, Riquelme), d'anciens (Crespo, Zanetti, Ayala) et de jeunes (Messi, Mascherano), allait alors subtiliser le ballon. Hernan Crespo, à l'affût dans la surface après un coup franc argentin, égalisait du droit, dans le but vide (11e). Bien que dominateurs, les Argentins éprouvaient alors des difficultés à se montrer dangereux face à un bloc américain compact.


Mis à part un missile de Veron qui s'écrasait sur la barre, les occasions franches n'étaient pas légion. Il fallait même attendre le retour des vestiaires pour voir l'Argentine reprendre son travail de sape. Le tout frais vainqueur de la Gold Cup allait craquer une première fois à l'heure de jeu sur un joli mouvement à trois entre Riquelme, Messi et Crespo. Le Barcelonais, après un une-deux avec Riquelme, décalait Crespo dans la surface, lequel ajustait Keller du droit (64e, en photo). Le mal était fait. Les Etats-Unis, ballottés, subissaient alors les assauts de plus en plus sereins d'Argentins enfin libérés. Qui se permettaient même de creuser l'écart grâce à deux joueurs entrés en cours de jeu. Crespo servait d'abord Heinze côté gauche, qui centrait pour la tête de Pablo Aimar, imparable (78e). Carlos Tevez, entré à dix minutes du coup de sifflet finale, clôturait la marque du droit, à l'entrée de la surface (85e).


Plus tôt dans la nuit, la Colombie de Mario Yepes a bu la tasse face au Paraguay de Roque Santa Cruz, auteur d'un triplé (0-5). Les équipiers du défenseur parisien, dominateurs en première période, se voyaient même offrir une occasion rêvée de prendre l'avantage en bénéficiant d'un penalty. Mais Alvaro Dominguez trouvait Justo Villar sur sa route (28e). La Colombie avait laissé passer sa chance. Deux minutes plus tard, Santa Cruz, lancé seul au but, débutait son festival en ouvrant la marque du gauche. Il récidivait 22 secondes après le retour des vestiaires, mais cette fois du droit (46e), dans un angle pourtant fermé. Le joueur du Bayern réussissait enfin le coup du chapeau à dix minutes de sifflet final, mais de la tête cette fois. La panoplie du parfait buteur. Salvador Cabanas, entré en jeu à la 70e minute, salait l'addition en signant un doublé en trois petites minutes (85e, 88e). Le score final, aussi lourd que sévère pour la Colombie, amenait alors Jorge Luis Pinto, le sélectionneur, dépité, à présenter ses excuses au peuple colombien. «Je déplore le score final. Nous avons pourtant dominé cette rencontre. Je suis désolé pour la Colombie». B. Ro.


Les prochains matches :


Vendredi : Bolivie - Uruguay (22h00)


Samedi : Pérou - Venezuela (0h15)

Foot-C.America - Argentine et Paraguay qualifiés
L'Argentine et le Paraguay se sont tous deux qualifiés dans la nuit de lundi à mardi pour les quarts de finale de la Copa America en disposant respectivement de la Colombie (4-2) et des Etats-Unis (3-1). Les deux sélections comptent six points chacune, avec deux victoires en autant de matches, et ont également inscrit le même nombre de buts : huit, soit quatre par match...Avec zéro point au compteur, les deux victimes du jour sont quant à elles toutes proches de l'élimination mais peuvent encore espérer terminer parmi les deux meilleurs troisièmes du tournoi.


Comme contre les Etats-Unis, pour son match d'ouverture, l'Argentine a eu besoin de concéder l'ouverture du score contre la Colombie, qui se présentait sans Mario Yepes, pour réagir. Le Bordelais Edixon Perea, à l'affût dans la surface après un cafouillage, marquait de près d'une déviation finalement aussi subtile que chanceuse (10e). Les Argentins confisquaient alors le ballon. Lionel Messi, accroché dans la surface, bénéficiait d'un penalty quelque peu généreux. Hernan Crespo le transformait en force, du droit (20e), mais se blessait sur la frappe et cédait immédiatement sa place à Diego Milito. On apprendra après le match que le tournoi est désormais terminé pour lui. Sans son buteur maison, auteur de trois réalisations en deux rencontres, l'Argentine s'en remettait au revenant Juan Roman Riquelme. Le joueur de Villarreal donnait d'abord l'avantage aux siens de la tête (34e), avant de réussir le break d'un joli coup franc direct des 20 mètres (45e). Jaime Castrellon avait beau réduire la marque de la tête (73e), sur corner, l'Argentine avait le match bien en main. Diego Milito, d'une frappe déviée, mettait ainsi un terme aux débats dans les arrêts de jeu. «Je pense que nous avons nettement dominé ce match et que nous avons mérité notre victoire» déclarait Riquelme après coup.


Plus tôt dans la nuit, le Paraguay a également décroché son billet pour les quarts en prenant le meilleur sur les Etats-Unis (3-1). Volontaires, les Américains se créaient pourtant la première occasion, par Sacha Kljestan. Seul aux six mètres, l'attaquant, idéalement servi, manquait pourtant le cadre d'une tête puissante. Le Paraguay ouvrait alors la marque par Edgar Barreto (30e), qui concluait d'un tacle rageur une action parfaitement construite. Les Etats-Unis égalisaient dix minutes plus tard par Ricardo Clark, d'une frappe puissante à l'entrée de la surface. Dominateurs au retour des vestiaires, les Américains faisaient le siège du but gardé par Bobadilla, entré en jeu à la place de Villar, blessé. Mais le second gardien paraguayen ne laissait rien passer. Oscar Cardozo profitait alors d'une mauvaise passe en retrait d'un défenseur adverse pour donner l'avantage aux siens (56e). Le Paraguay tenait bon et inscrivait même un dernier but dans les arrêts de jeu sur un coup franc parfaitement enroulé de Salvador Cabanas. Il disputera à l'Argentine, dans la nuit de jeudi à vendredi, la première place du groupe alors que les Etats-Unis défieront la Colombie pour continuer de rêver. B. Ro.


Les prochains matches :


Mercredi : Pérou - Bolivie (0h30)


Venezuela - Uruguay (2h45)

faut que l'argentine se fasse sortir sinon y a un mec ici qui va nous prendre la tete pendant 2 mois

En même temps, on serait pareil avec l'OM, 14 ans sans titre ca fait mal
Même la France a récolté des titres pendant cette période

bursco a écrit:

En même temps, on serait pareil avec l'OM, 14 ans sans titre ca fait mal
Même la France a récolté des titres pendant cette période

oh, p'tain
argentina, il t'a taclé comme je n'aurais même pas osé le faire.
Les tacles de civelli ou de heinze (argentinian style), ce sont des tacles de paydays à côté de celui ci